Comment sont gérés les enjeux de la RSE chez SUP INTERIM ?

Sommaire :

  1. C’est quoi la RSE d’une entreprise ?
  2. Comment est-elle évaluée ?
  3. Nos actions :
  4. Le résultat :

C’est quoi la RSE d’une entreprise ?

RSE se traduit par Responsabilité Sociétale des Entreprises. C’est-à-dire l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales, environnementales et économiques dans leurs activités et interactions avec leurs parties prenantes (clients, employés, fournisseurs, …). Elle repose sur l’idée qu’une entreprise ne se limite pas à chercher des profits, mais doit également contribuer positivement à la société et minimiser son impact négatif sur l’environnement. Cela inclut des pratiques telles que le respect des droits humains, la réduction des émissions de CO2, l’amélioration des conditions de travail, ou encore le soutien au développement local. La RSE s’inscrit dans une démarche de développement durable, conciliant performance économique, justice sociale et respect de l’environnement.

Comment est-elle évaluée ?

Chez SUP INTERIM, nous faisons appel chaque année à un organisme de cotation nommé EcoVadis, un leader mondial des évaluations RSE pour les entreprises. EcoVadis a évalué plus de 130 000 entreprises, et ce sur 21 critères RSE répartis entre 4 grands thèmes :

  • Environnement
  • Éthique
  • Social et droits humains
  • Achats responsables

Pour obtenir une médaille, nous devons avoir un score minimum de 30/100 dans chacun des thèmes énoncés. Une médaille est ensuite attribuée, selon le score moyen obtenu :

  • Platinum (Platine), top 1 % (percentile de 99 ou plus)
  • Gold (Or), top 5 % (percentile de 95 ou plus)
  • Silver (Argent), top 15 % (percentile de 85 ou plus)
  • Bronze (Bronze), top 35 % (percentile de 65 ou plus)

Nos actions :

  • Dématérialisation des contrats et fiches de paie pour l’ensemble des salariés (permanents et intérimaires).
  • Mise en place de politiques sur les différents piliers que sont l’environnement, l’éthique, le sociétal et les droits humains, ainsi que sur les achats responsables. Des engagements ont été pris sur chacun d’entre eux. Exemple : réaliser au moins 64% d’analyses de nos accidents du travail à fin 2026.
  • Sensibilisation régulière du personnel à des sujets comme la discrimination, la fraude ou le travail des enfants.
  • Création et mise en place d’une politique de valorisation du handicap, en partenariat avec l’AGEFIPH.

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Le résultat :

Pour notre dernière notation en date, réalisée le 1er août 2024, nous avons obtenu la médaille d’or et réalisé un score de 76 % ; ce qui place SUP INTERIM dans le top 5 % des entreprises de son secteur d’activité évaluées à l’échelle mondiale.

En quoi cette notation est-elle importante pour notre entreprise ?

Cette notation montre à l’ensemble de nos partenaires l’implication du Groupe SUP INTERIM en matière de RSE, ainsi que son niveau de maturité. Egalement, certains de nos clients demandent une note minimale pour être en capacité de travailler avec eux.

Quels sont les sujets RSE que nous animons au quotidien ?

  • QHSE : La prévention des risques professionnels auprès de nos salariés intérimaires et de nos clients.
  • Sensibiliser et former nos équipes aux enjeux et valeurs ajoutées du recrutement inclusif : TH, juniors et seniors, femmes, étrangers, personnes éloignées de l’emploi (milieu rural et/ou problèmes de mobilité, illettrisme, …)
  • Préserver la planète en diminuant nos consommations de ressources.

À quel(s) niveau(x) avons-nous été le plus performant ?

  • Dans un premier temps, au niveau « Social et des droits humains », où nous avons reçu un score de 80/100.
  • Les trois autres piliers ont obtenu une note de 70/100.

Quelles sont vos prochaines étapes ?

CAP 2025 :

  • Révision de notre politique d’achats, et formation de certains collaborateurs SUP INTERIM aux achats responsables.
  • Mise en place d’un questionnaire à destination de nos différents fournisseurs pour mesurer leur niveau de maturité en matière de RSE.
  • Mise en place de notre cartographie des risques.
  • Réalisation du deuxième bilan carbone du groupe.
  • Intégration de la RSE dans la CSRD (Directive européenne relative à la publication par les entreprises d’informations en matière de durabilité).
  • Adhésion au Pacte mondial des Nations Unies.

Quels enseignements tirons-nous de ce processus ?

Il est nécessaire de régulièrement se remettre en question. Il faut écrire ce que nous faisons sur le terrain, pour faire évoluer les documentations et notre démarche RSE. Il faut être et rester à l’écoute des parties prenantes.

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